Nos pleurs et l’horizon
Ce samedi encore nous pleurerons Lamine Dieng assassiné par la police du 20ème arrondissement de Paris le 17 juin 2007. Combien serons-nous […]
Ce samedi encore nous pleurerons Lamine Dieng assassiné par la police du 20ème arrondissement de Paris le 17 juin 2007. Combien serons-nous […]
EXTRAIT – LE FEU QUI CRAQUE Finalement, que reste-t-il ? Dans notre recueil intitulé Le Feu qui craque, une partie est consacrée à diverses […]
Nous vous proposons la traduction d’un texte puissant et sans équivoque de Naomi SIMMONS-THORNE, sur les enjeux méthodiques et idéologiques que génèrent le récit de vie d’une figure militante essentielle de la lutte pour les droits civiques aux États-unis et dont la dimension transmasculine est attestée par de nombreux faits mais que nombre de chercheur·euse·s persistent à raconter au féminin. À partir de l’exemple de Pauli, Naomi plaide fort pertinemment en faveur d’historiographies « désessentialistes », en mesure de se confronter avec éthique, courage et cohérence aux éléments biographiques qui remettent en question le genre officiellement connu d’une figure historique, afin également de se détacher des conceptions essentialistes du genre. Lire →
« From the very beginning we were Afroanarchists. We never felt the need to proclaim this; instead, we wanted to act on it as best we could. (…) »
Here is the translation of our essay « AfroAnarchistes Anonymes » that we published in 2020 for the tenth anniversary of our collective Cases Rebelles !
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Voici un texte écrit et dit en voix-off par Michaëla Danjé, membre de Cases Rebelles, dans une séquence de notre documentaire « Dire à Lamine ». Lire →
Notre série se termine ici avec le magnifique texte d’une proche de Cases Rebelles qui nous a fait le précieux présent d’accepter de participer à notre conversation collective. Dans ce texte très riche d’Anlu Kom on voit notamment comment le silence et les non-dits sont le fruit des conditions matérielles d’existence, des accidents de la vie et de la nécessité impérative de trouver un peu de paix dans nos quotidiens et nos familles. Lire→
Nous sommes déjà au troisième épisode de cette série de réflexion née de la constatation qu’il n’y a peut-être pas forcément de bon moment pour dire les choses difficiles à entendre aux personnes dont l’amour nous importe, notamment nos familles. Dans ce nouveau texte, on voit comment la culture du silence et du secret se transmet et s’hérite, avec au moins peut-être une question à la clé : pourquoi respecterai-je un contrat toxique que je n’ai jamais signé ? Lire→
Nous poursuivons notre série « le bon moment ». Voici le deuxième volet de cette réflexion née de la constatation qu’il n’y a peut-être pas forcément de bon moment pour dire les choses difficiles à entendre aux personnes dont l’amour nous importe, notamment nos familles. Ici, on voit comment cette difficulté de dire peut tout contaminer, même les annonces inévitables et comment l’on peut finir par renoncer à dire, à se dire… Temporairement ou à tout jamais ? Lire→
Nous vous proposons une série intitulée « le bon moment » en 4 parties. Cette série est née de la constatation qu’il n’y a peut-être pas forcément de bon moment pour dire les choses difficiles à entendre aux personnes dont l’amour nous importe, notamment à nos familles. Quand doit-on, quand peut-on dire sa vérité? Et quel est le prix du silence ? Lire→
Elle nous a souvent été demandée : voici enfin la traduction anglaise de notre texte « Les Corps épuisés du spectacle colonial ». Merci à Ariella Aïsha Azoulay et à Jessie Kindig pour cette traduction. Lire→