Depuis sa réélection le 24 mars 2019, dans des conditions indéniablement frauduleuses, à la faveur d’une scandaleuse réforme constitutionnelle l’autorisant à plusieurs mandats successifs – et ce au mépris de la présidence tournante instaurée par la constitution de 2001 – Azzali ASSOUMANI, ancien putschiste de 1999, président élu depuis 2016, poursuit sa fuite en avant répressive : arrestations massives, manifestations réprimées dans le sang, violences, tortures, assignations à résidences, etc.
En France, de Paris à Marseille, les comorien.nes sont mobilisé.es pour que la terreur ne triomphe pas et pour réclamer un État de droit. Parmi eux, le collectif UFAHARI WA KOMORI, hyperactif depuis deux mois, force le respect par sa détermination, son sérieux et la clarté de ses engagements. Ecouter →